Publié le mardi 10 mars 2009
La crise que le monde du travail est en train de subir dans tout
l'occident, s'est déversée de façon exponentielle sur le reste du monde. Il a pour objectif l'appauvrissement des futures générations.
Sans une inversion de la tendance, qui serait une réponse d'ensemble,
l'amélioration des conditions matérielles de notre
vie ne sera pas possible.
Tout ceci, nous impose une voie suivre, la lutte des classes, car nous avons tous un rêve : un autre futur est possible !
Le patronat, acteur de la crise économique, comme toujours, tente de
décharger sur nous leurs responsabilités politiques, économique, et
social. Mais nous ne payerons pas leur crise !
En tant que travailleurs, retraités, chômeurs, marginaux , nous nous devons de répondre
de façon unitaire. La crise doit être renvoyée à l'expéditeur, aux forces
économiques et politiques, car ce sont eux qui l'ont produite.
Encore une fois nous sommes appeler à répondre, à organiser, à se
défendre, à contre-attaquer.
Le syndicalisme révolutionnaire et
l'anarcho-syndicalisme :
Doit répondre concrètement afin d'inverser la tendance fasciste du
système économique et social.
Construire une solidarité internationale afin de créer des alternatives.
Nous ne payerons pas leur crise !!
Au centre de cette bataille du monde du travail, il doit être clair
que leur crise ne doit pas nous retomber dessus.
Les revendications doivent être communes à tous les syndicats, se réclamant de l'auto-organisation avec des
mots d'ordre unificateurs :
Augmentations des salaires égaux pour tous ;
Pour les retraités, récupération salariale liée à l'inflation ;
Fermeture des Entreprises qui ne respectent pas la sécurité sur les lieux de travail ;
Un salaire social pour les chômeurs ;
Un toit pour tous ;
La liberté de circulation des travailleurs ;
Non à la guerre, Oui à la vie !
Pour un monde libre et égalitaire !
Le secrétaire de l'USI-AIT
B. Sandro
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