Publié le vendredi 19 août 2016
Déjà, en 2012, General Motors avait viré plus de 200 travailleurs blessés et malades, du cancer ou de la colonne vertébrale entre autres, en falsifiant les rapports médicaux avec l’appui du gouvernement. Onze travailleurs avaient du entamer une grève de la faim en se cousant les lèvres pour que des négociations commencent. Aujourd’hui, malgré une solidarité internationale soutenue aux USA et dans d’autres pays latino-américains, General Motors refuse toujours de reconnaître ses tords. Elle fait même pression sur le gouvernement Colombien pour que le parlement vote une loi qui autorise le licenciement des ouvriers blessés.
Dernièrement elle à trouvé une autre astuce juridique pour mettre à la porte 80 travailleurs supplémentaires en arguant d’une supposée « retraite volontaire » imposée avec l’appui la encore de l’administration gouvernementale.
LA CNT est solidaire des syndicats de la métallurgie en Colombie, le SINTRAIME et le SINTRAGMCOL qui luttent contre cette situation et adhère à la campagne pour leur réintégration.
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